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Mega-infraban EuRICAA - développement civilisationnel du monde

07.02.2019, 00:00
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Réunissant tout le globe terrestre, le projet d’infrastructure Méga-infraban EuRICAA offre les meilleures perspectives pour élaborer une base sérieuse afin de résoudre nombre des problèmes globaux auxquels est confrontée l’humanité, dont les plus dangereux, à savoir les problèmes militaires et écologiques. Ce faisant, comme chacun le sait, la situation écologique empire de jour en jour et les conflits entre les civilisations deviennent plus fréquents.

Méga-infraban Europe – Russie – Inde – Chine – Afrique – Amérique

 

 

Dans le contexte actuel d’augmentation de la concurrence, aucun pays n’est plus en mesure désormais de contrôler les risques pesant sur sa propre économie, s’il ne dispose pas de solides infrastructures de transport. Les stratégies de transport communément adoptées par tous les pays au niveau national visent à obtenir une voie de développement de l’État qui soit intensive, innovante, socialement orientée, afin de garantir une meilleure compétitivité de l’économie nationale et une meilleure qualité de vie pour la population. Résoudre seul les problèmes posés est impossible. Le projet de création d’une artère de transport intercontinentale unique vise à des actions conjointes et à des interactions.

La solidarité internationale s’avère la base de la décision visant à la construction d’EuRICAA, couloir de transport global, dans la mesure où chaque pays a des besoins différents sur les marchés extérieurs que sont le commerce, les ressources en main d’œuvre, la technologie, l’importation de matières premières, etc.

Le projet en est au stade de l’Initiation. C’est pourquoi il est indispensable, pour tous les pays potentiellement participants, de :

- convaincre l’ONU et les pays majeurs – États-Unis, Chine, Allemagne, Russie, Japon – de devenir des promoteurs actifs du projet EuRICAA ;

- évaluer l’effet multiplicateur lié à la participation au projet, à l’intérieur de chaque pays ;

- préparer le fondement urbanistique de la construction de la Méga-infraban, selon le tracé prévu de l’autoroute ;

- déterminer des modèles financier et organisationnel, visant à attirer des investisseurs, notamment privés.

 

La Méga-infraban Europe – Russie – Inde – Chine – Afrique – Amérique, autoroute universelle de très longue distance, aidera à surmonter le morcellement des États et des peuples. Elle reliera des dizaines de pays par des intérêts nouveaux et multiples : fret express de grande puissance (environ 500 tonnes), fonctionnant avec des batteries à l’uranium, itinéraires exotiques, voyages d’affaires et privés effectués par des personnes de nationalités, religions et races différentes.

Il s’agira d’une route d’environ soixante-dix mille kilomètres. Elle traversera des territoires où vivent plus de six milliards d’hommes. L’auteur de cette idée suggère que la Méga-infraban parte du Cap, pour aller ensuite à Brazzaville, Abuja, Rabat, avant d’emprunter un tunnel sous Gibraltar et ensuite Madrid, Paris, Bruxelles, Berlin, Varsovie, Minsk, puis les terres russes. Tver, Vologda, traversée de l’Oural dans la région de Perm et de la Sibérie – Sourgout, Iakoutsk. De là, Ouelen, le point continental le plus à l’est de la Russie. Par temps clair, on y aperçoit les îles Diomède, où passe la frontière russo-américaine.

En construisant un tunnel et des ponts reliant le cap Dejnev et les îles Diomède, nous accélérerons le développement des régions sibériennes, découvrirons leurs richesses et leur singularité naturelle. Les villages de Wales, sur le cap Prince-de-Galles, à l’extrémité occidentale du continent nord-américain, et le Ouelen russe, sur le continent eurasiatique, ne seront plus simplement des points géographiques extrêmes, mais les symboles accueillants de la nouvelle civilisation globale du troisième millénaire.

Après avoir traversé la ville de Fairbanks en Alaska et les villes canadiennes de Whitehorse, Prince George, Vancouver, la Méga-infraban gagnera la côte occidentale des USA : Seattle, Los Angeles...

Dans un second temps, la Méga-infraban traversera le Mexique et l’isthme de Panama pour aller jusqu’en Patagonie, au port argentin d’Ushuaïa sur la Terre de feu, et à partir de Lisbonne, il traversera toute l’Afrique jusqu’au Cap, en Afrique du Sud. Cela dit, la version finale de l’implantation de la route EuRICAA doit être déterminée par les gouvernements et les peuples des pays sur le territoire desquels passera l’autoroute. Il est indubitable que plus élevé sera le nombre d’États et de peuples réunis par EuRICAA, plus grand sera son effet sur le développement des civilisations.

Sur le territoire de la Russie, une autoroute méridionale partira de la Méga-infraban. L’une de ses branches passera à travers l’Asie centrale et l’Afghanistan pour atteindre l’Inde, tandis que l’autre – celle du Sud-Est – reliera en un seul système autoroutier la Chine et les pays de l’Asie du Sud-Est.

La création d’une artère de transport intercontinentale unifiée, capable de devenir l’axe de la civilisation contemporaine, c’est l’exigence la plus pertinente des Terriens à l’heure actuelle, une exigence qu’ils ne réalisent pour l’instant que partiellement et sans y consentir de gros efforts. Dans les pays développés – USA, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Espagne, Italie, Russie –, l’infrastructure en matière de transports se caractérise par sa qualité exceptionnelle et son immense potentiel aussi bien en ce qui concerne un développement ultérieur que sa réunion avec des partenaires logistiques. Mais nous parlons d’une autoroute tout à fait différente, capable de recevoir un trafic routier d’un tonnage d’environ 500 tonnes, fonctionnant en pilotage automatique avec des batteries nucléaires. La Méga-infraban EuRICAA, c’est le dépassement de douloureuses fractures et la réunion de potentiels déjà existants et nouvellement crées dans un réseau transversal opérationnel.

Le XXe siècle a déjà donné des exemples du dépassement de l’émiettement des territoires, en dépit des conditions géographiques. Parmi les derniers en date : le tunnel sous la Manche et le pont sur le golfe de Gascogne. La prochaine étape, ce sera la conquête du détroit de Béring. D’un point de vue technique, ce n’est pas le défi le plus compliqué : la longueur des digues ne dépassera pas vingt kilomètres pour une profondeur de la mer n’excédant pas quarante mètres. Toutefois, le saut par-dessus le détroit de Béring n’a pas de sens si la Méga-infraban EuRICAA ne traverse pas le territoire de la Russie. C’est justement cette zone qui devient le maillon-clef du problème. C’est seulement en réunissant l’Europe, l’Asie, l’Amérique et l’Afrique par une autoroute traversant la Russie (en complément de la voie maritime du Nord et du Transsibérien dans le Sud de la Russie) qu'on pourra former un véritable axe autoroutier et intercontinental de civilisation.

Il reste de nombreux endroits, en Russie, au Canada, aux USA, en Amérique latine, Afrique, dont les ressources sont inconnues. La liste pourrait être augmentée des gisements de gaz, dont les ressources sont encore plus impressionnantes. Sur les territoires que traversera la Méga-infraban et les zones adjacentes à ces territoires, on a découvert (ou on est en train de le faire) des gisements non seulement d’hydrocarbures, mais également de houille, ainsi que de diamant, d’or, de pierres précieuses, de divers métaux - minerai d’uranium, fer, platine, titane, cuivre, étain, zinc, cristal de roche. On y trouve aussi des sources thermales, dotées de hautes propriétés curatives. Et naturellement, des forêts, des forêts, des forêts… Des millions d’hectares, des milliards de mètres cubes de bois, qui ne constituent pas seulement une matière première pour l’industrie de la cellulose et de la pâte à papier, de la construction et de la pharmacologie, c’est aussi une gigantesque fabrique d’oxygène dont il est difficile de surestimer l’importance, à la lumière des accords conclus à Kyoto.

La Méga-infraban EuRICAA dynamisera, dans les différents pays du monde, les zones difficilement accessibles et offrant néanmoins un riche potentiel. Elles seront incluses dans la tendance mondiale visant au développement des économies nationales. L’efficience des liens entre les entreprises augmentera, les processus économiques, politiques, culturels d’intégration se renforceront, les investissements atteindront un niveau encore égalé.

Le ruban de trois cents mètres de large de la Méga-infraban éveillera à la vie la ceinture septentrionale de trois mille kilomètres, à l’heure actuelle déserte en Russie, aux USA, au Canada. L’exode des populations de ces territoire s’arrêtera : au contraire, on aura besoin d’une multitude de travailleurs et de spécialistes. Les zones bordant la Méga-infraban pourront devenir la tête de pont de la grande « transplantation des peuples ». Car ces immenses territoires vierges sont la principale aire de réserve de la planète, capable d’accueillir n’importe quelle quantité d’humains en cas de cataclysmes naturels globaux.

Le coût du projet sera déterminé après les travaux exploratoires lors de la phase préparatoire du projet.

L’apparition dans le monde d’une artère de transport intercontinentale modifiera résolument l’espace géopolitique. De nouvelles alliances politiques verront le jour. De nouveaux pays viendront s’adjoindre aux zones multimillionnaires en habitants comme l’Europe, les USA, la Chine, la Russie, et sur des bases totalement nouvelles.

Les investisseurs seront au premier chef les États, qui y consacreront une partie de leurs moyens budgétaires. Quand le projet en sera au stade de sa réalisation, les pays investisseurs y trouveront un puissant moteur de croissance économique (développement intensif de l’industrie de construction mécanique, des bureaux d’étude, du domaine de la formation des spécialistes, implication dans la construction de l’immense armée des chômeurs vivant actuellement d’allocations).

La gouvernance de la Méga-infraban, c’est une nouvelle étape qualitative de franchie pour un management transnational. EuRICAA, c’est la création de nouvelles technologies et de nouveaux programmes de gouvernance, un réseau d’écoles préparant de nouveaux cadres, une multitude de postes à pourvoir.

Naturellement, les principaux investisseurs seront les entreprises de transport, qui obtiendront ainsi la possibilité de constituer et de desservir des itinéraires mondiaux, les entreprises spécialisées dans la production de matériel routier, les holdings de construction automobile, qui recevront des commandes pour des trains routiers d’une capacité de charge de près de 500 tonnes, fonctionnant en pilotage automatique sur des batteries à l’uranium. Il y a peu, pendant la phase d’élaboration de l’idée de ce projet, l’industrie automobile a été la première à réagir et à manifester le désir de prendre part à sa réalisation.

Le symbole d’une génération

EuRICAA deviendra une véritable école d’apprentissage, de maturation et de gouvernance pour les générations futures de Terriens. Il sera aussi le symbole du défrichage que chaque génération doit entreprendre.

Entamer ce siècle par l’examen du projet de la Grande route que vous propose votre contemporain, c’est un honneur pour vos concitoyens comme pour l’élite internationale du monde des affaires.

 

 

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